La voiture autonome était un rêve il y a quelques années, mais c’est désormais une réalité. Elle a fait l’objet de nombreux tests et des études ont pu se pencher sur son intérêt. Toutefois, ce bijou de technologie pourrait poser des dilemmes notamment pour une question de responsabilités. En effet, les constructeurs ne voudront sans doute pas les endosser pour des choix moraux. Il faut alors être conscient de la situation avant d’envisager une éventuelle commercialisation de ces véhicules.
La voiture autonome est accompagnée d’un dilemme éthique
L’étude Moral Machine nous montre le dilemme que peut entraîner une telle voiture autonome. Par exemple, les personnes qui participaient au questionnaire avaient tendance à épargner les jeunes par rapport aux seniors. A contrario, ils se sacrifiaient plus facilement un animal par rapport à un humain. La réponse psychologique pour ce dilemme serait donc la responsabilité.
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- La voiture autonome n’aura pas la capacité de reconnaître les objets, elle ne pourra donc pas être dotée d’une pensée pour savoir s’il faut épargner ou sacrifier.
- À cause de cela, les constructeurs à l’origine de ces voitures autonomes ne voudront pas endosser la responsabilité puisque ce sont des choix moraux.
La non-responsabilité pour commercialiser ces voitures
De plus, si le véhicule n’identifie pas un espace pour éviter l’objet, il aura tendance à freiner sans aucune certitude sur le futur. Dans ce cas de figure, la non-responsabilité serait à la base de la commercialisation des voitures autonomes. Toutefois, il semble difficile que ce projet puisse se concrétiser si personne ne veut endosser cette responsabilité.
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